Patrimoine : la gestion privée cherche à rebondir

Article | Article de revue
| 29/09/2003
 
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Auteur
CHAUVOT, Myriam
Revue :
Option Finance
N° de la revue
752
Page(s)
p. 18-39
Ref
62461
Résumé
La loi sur l'initiative économique adoptée le 1er août 2003 et l'évolution des marchés financiers ouvrent de nouvelles perspectives en ingénierie patrimoniale. Les banques privées, suite à la crise boursière, doivent innover pour regagner la confiance de leurs clients. Mais la capacité de la gestion privée à créer des prestations a un prix. A la Société Générale, tout produit de la gestion privée demande un investissement de 100 000 euros au minimum et passe à 250 000 euros pour un fonds de gestion alternative chez BNP Paribas. Un mandat de gestion de titres vifs avec la possibilité de téléphoner au gérant requiert souvent un portefeuille d'au moins 1 million d'euros. D'après Philippe Dutreil, gestionnaire grandes fortunes chez BNP Paribas Banque Privée, " la gestion de fortune avec des produits sur mesure s'envisage à partir d'un minimum de 5 millions d'avoir financiers ". En dessous, on ne peut utiliser que des supports de placements financiers très classiques. Pour les gros patrimoines familiaux, la création d'une sicav, pour une gestion sur mesure, peut être envisagée, à partir de 15 millions.


Mots clés
PATRIMOINE | LOI POUR L'INITIATIVE ECONOMIQUE | SICAV | BANQUE | TAUX | TITRE | CREDIT
Voir aussi
Loi n° 2003-721 du 1er août 2003 pour l'initiative économique
Pub. Officielle | Loi
JORF Lois & Décrets | 05/08/2003

 
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