Licenciement économique : du contrôle "a priori" à la responsabilité "a posteriori"

Article | Article de revue
SOCIAL | 04/2002
 
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Auteur
FAVENNEC-HERY, Françoise
Revue :
Revue de Jurisprudence Sociale
N° de la revue
4
Page(s)
p. 287-294
Ref
76840
Résumé
Cette chronique porte, vu la loi de modernisation sociale, sur les nouvelles attributions de comité d'entreprise, les nouvelles responsabilités de l'employeur et l'alourdissement des sanctions encourues lors d'un licenciement économique.

Sommaire :
I- Les nouvelles attributions du comité d'entreprise : une force de blocage
A- Une participation des instances représentatives à la mesure économique
1- le comité d'entreprise, interlocuteur obligé
2- une évolution conforme au droit interne et au droit communautaire
B- Une mise en oeuvre paralysante
1- un calendrier précipité et lourd
2- la nature des interventions
II. La responsabilité "sociale" du chef d'entreprise
A. Le licenciement "mesure ultime"
1- le principe d'une obligation de reclassement
2- l'instrumentalisation du principe
B- La responsabilité de l'entreprise en matière d'emploi
III- L'alourdissement des sanctions
A. Les sanctions du non-respect de la procédure et du défaut de reclassement
1- la nullité du licenciement
2- l'incertitude de certaines fonctions
B Les sanctions financières


Mots clés
LICENCIEMENT ECONOMIQUE | RUPTURE DU CONTRAT DE TRAVAIL | RESPONSABILITE DE L'EMPLOYEUR
Voir aussi
Loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 de modernisation sociale
Pub. Officielle | Loi
JORF Lois & Décrets | 18/01/2002

 
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