Loi pour la confiance et la modernisation de l'économie : conséquences en droit des sociétés

Article | Article de revue
| 26/09/2005
 
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Auteur
SUPIOT, Marie | MELCION, Jean
Revue :
Option Finance
N° de la revue
850
Page(s)
p. 32-34
Ref
83424
Résumé
Cet article opère un rapide tour d'horizon sur les conséquences en droit des sociétés de la loi n° 2005-842 du 26 juillet 2005 pour la confiance et la modernisation de l'économie.

Sommaire :
1- Les réunions du conseil d'administration et du conseil de surveillence pourront être tenues par des moyens de télécommunication
2- Assemblées d'actionnaires : abaissement du quorum
3- Rapport du président sur le contrôle interne : obligation pour les seules sociétés faisant appel public à l'épargne
4- Obligation triennale de statuer sur un projet de résolution tendant à réaliser une augmentation de capital réservée aux salariés
5- Les engagements de retraite et les indemnités de départ des dirigeants de sociétés cotées sont des conventions réglementées
6- Rémunération des dirigeants : transparence renforcée et sanctionnée
7- Achats d'actions propres par les sociétés cotées
8- Elargissement de la notion de contrôle ( trnaposition de la directive " transparence " )
9- Déclarations des franchissements de seuils de participation : extension du règime



Mots clés
DROIT DES SOCIETES | CONSEIL DE SURVEILLANCE | CONSEIL D'ADMINISTRATION | ASSEMBLEE GENERALE | CONTROLE INTERNE | AUGMENTATION DE CAPITAL | REMUNERATION
Voir aussi
Loi n° 2005-842 du 26 juillet 2005 pour la confiance et la modernisation de l'économie
Pub. Officielle | Loi
JORF Lois & Décrets | 27/07/2005

 
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